EN AVANT et les priorités
Les tares de la société haïtienne engluée dans le sous-développement ne trouveront de cures qu’à travers l’offre d’une éducation de qualité à nos enfants. Celle-ci doit toucher aussi bien le primaire, le secondaire, que l’Université et la formation professionnelle et technique.
Haïti a basculé dans le désordre et l’anarchie. Pour le mouvement En Avant, et au plus vite, il faut rétablir l’ordre. Partout et en tout ! Quand il n’est pas inexistant, L’État est à genoux ou traîné dans les caniveaux. Le mouvement s’inscrit dans une démarche visant à restaurer l’autorité de l’Etat.
Avez-vous des questions ?
Nous travaillons avec passion pour parler des défis et en créer de nouveaux dans la politique haïtienne.
Nous sommes les héritiers(ères) d’un long combat. Il n’est pas d’ordre établi d’injustices et de misères qu’on ne puisse éradiquer. Cet idéal est celui des combattants de 1804, de 1844 ; de 1934 ; de 1946, de 1987. Plus de deux siècles après l’indépendance, notre résolution demeure intacte. Tant de gens aimeraient participer à une grande œuvre de construction nationale mais ne voient pas comment le faire. Tant de gens veulent rompre avec le fatalisme, la résignation, l’autoflagellation et les aveux d’impuissance. Le mouvement entend offrir à cette majorité silencieuse un espace d’expression et de militance, une raison d’espérer, un moyen d’agir pour CHANGER les choses.
Au sein du mouvement EN AVANT, nous sommes portés par le devoir de freiner la descente aux enfers d’Haïti. Face aux mutations d’un monde troublé, face aux défis qui nous attendent, nous voulons rassembler les bonnes consciences d’Haïti, sans exclusion, autour d’un idéal de progrès, de modernité et de justice.
D’aucuns pensent que le déclin continu de notre pays est inévitable et que le pire est à venir. Les fondateurs du mouvement « EN AVANT » osent prétendre autrement. En effet, une prise en charge de la politique par un leadership collectif et visionnaire peut conduire Haïti sur la voie du progrès et du développement.